Parce que j'arrive...

Une journée comme les autres, finalement, je me dit en voyant l'établissement. Un école rose enfantinne, avec pleinds de fleurs et une fontaine en plein millieu dans la cours avant... Je soupire avant de m'avancer vers l'énorme grille qui donne une vue sur tout la cours extérieur. Je donne mon nom complêt et un papier au garde surveillant pour finalement entrer dans cette place...

"Moka Astra Akashiya...Le papier...Avez-vous besin de cartes d'identités? Non... D'accord. Merci, bonne journée..."

La grille noir métalique s'ouvre devant moi. Je reste malgré cela, sans émotion...Je ne sent aucune joie ou plaisir de venir dans cette école dont j'avais fait le choix personnelle...Est-ce que ça veut dire que je me suis trompée? Ou bien... Devrais-je avoir un mauvais présentiment? J'ai aussi la grande impression que mon côté "enfant" va surgir...C'est vrai que cette école n'est pas très sérieux. Mon père le savais très bien...Et il me l'a dit plusieurs fois...

-Moka Astra, tu es sûre de vouloir aller à Ouran? Cette école n'est vraiment pas sérieuse!
"Voilà pourquoi je veux aller à cette école. Tu l'as dit toi-même, le vieux, je choisit ma voie au lycée! Et puis, cette voie se dirige vers Ouran. J'en suis sûre, cette école...elle est parfaite pour moi!"
-Tu vas là juste pour t'amuser!? Moka Astra! Ne me fait pas honte, ne souille pas le nom des Akashiya! J'étais bien fière de dire que ma fille va à l'école pour fille de...
"Beurk! Une école pour lesbiennes? Où leur cercle, il n'ya que des filles qui séduient d'autres filles? Franchement! Je préfère encore ses hôtes sans cerveaux! Eux au moins, ils ont une certaine gêne!"

Comme j'avais de belles conversations avec mon papa que je déteste tant! Il n'a jamais respecté mes choix, comme celui de mon plaisir dejouer du violon. Je l'ai toujours cachée, mais, je joue beaucoup de violon. J'écris parfois des compositions...Sans noms...Cependant, on me dit toujours qu'elles inspire une certaine émotion...Pour moi, écrire de la musique, c'est pour me distraire, pour m'occuper, pour me défouller. J'en écrivais aussi quand mon père me parlait sérieusement...Je trouvais ça drôle. Mais maintenant, je vais l'éviter le plus possible. Je ne veux plus être avec lui. Il m'a assé détruit la vie comme ça...Comme me donner une grande soeur qui agit exactement comme lui...Quant à moi, on m'a souvent dit que j'étais le sozie de ma mère. Une femme si jolie, petite (saufe que moi, je la dépasse beaucoup...), gentille au grand coeur. À son âge, j'étais son portrait craché! Étonnant pour une fille qui ne voit pas souvent sa mère? Il faut tout de même avouer...J'aurais aimée rencontrer ma mère...Je ne l'ai pas vue...ca va fare bientôt deux ans... Alors que mon père, je le vois à toutes les deux semaines. Une vrai souffrance!

Moi et ma soeur, ça n'a jamais été une bonne relation aussi. C'est comme avec mon père...Que des sourires sadiques! Des paroles presques blessants! Mais, avec ma soeur, ça été pire. On s'envoyaient promener quasiment chaque fois qu'on se voyait...On se détestait vraiment...Et on savais pas trop pourquoi...Peut-être parce qu'elle était jalouse de moi? Moi qui allait ête directrice de la companie "Apple" parce que j'avais beaucou plus le "physique de l'emploie"? Ou parce que la petite chouchoue de mon salle père me fesait plus confiance, d'un certain côté?

Il faut bien le dire, je n'ai jamais aimée ma famille beaucoup. Peut-être ma grand-mère, car elle venait toujours me parler et elle m'apportait des friandises. C'est un peu grâce à elle si mon côté "Kawaiih" s'est créé. Et puis, elle ne m'apportait pas que des petites gâteaux, il y a aussi des poupées japonaises trop jolies, des vêtements lolithas(c'est grâce à elle aussi que mes goûts gothic se sont exploités) et puis, elle m'a montrée sn don du ciel; son violon. Un violon que mon grand-père lui avais fait en signe de leur amour. Et puis, maintenant, ce violon remplie d'amour est le mien. Encore aujourd'hui, quand on le touche, on s'en la chaleur et la passion que son constructeur avait. C'est un sentiment agréable...Un sentient vraiment...Incroyable...

C'est bien beau ma famille de manquée, mais retournons au début. Mon arrivée au lycée Ouran! J'ai bien beau marchée, on dirai que la porte est ncore à 5 kilomètre... Bon, je vais aller me reposer sur le petit banc là-bàs...